Quelques réglages indispensables nous ont conduits ce matin vers ces centres commerciaux standardisés qui sont toujours des "grands moments de bonheur ", surtout en face des petits comme ceux connus hier au bord de la Lifey. Rien donc de particulier à noter, si ce n'est que l'escalator montant est à ... gauche.
La campagne nous attend et ne nous déçoit pas avec ses cottages aux toits de chaume et aux façades chaulées, aux cheminées lâchant les effluves acres d'un feu de tourbe. Les oiseaux n'ont pas l'air dérangés par les passages de deux voyageurs. Eux, pour certains tout au moins, les voyages au long cours, ils connaissent.
La mer n'est jamais loin ici et sous un ciel menaçant et une température qui fraichit d'intrépides nageurs affrontent les courants mais semblent bien patauds à côté des phoques.
L'inévitable averse nous pousse dans le non moins inévitable pub où en ce vendredi de début de soirée, l'ambiance a vite fait de réchauffer n'importe quel pékin et nous soupçonnons fort que parmi ces buveurs de bière, il y a de ces nageurs qui racontent leurs exploits et se consolent de leur duel perdu avec les seals (en anglais dans le texte, comprendre phoques pour les non initiés).
Balbriggan 5
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